Quand on parle de vaginisme en tant que femme, il y a souvent cette pensée silencieuse qui hante l’esprit des femmes qui en souffrent :
💭 “Je ne suis pas une femme complète.”
💭 “Mon corps ne fonctionne pas comme il devrait.”
💭 “Et si je n’étais pas normale ?”
Le vaginisme n’est pas juste un problème physique.
C’est une épreuve qui vient toucher quelque chose de plus profond : l’image que tu as de toi-même, ta confiance, ta féminité.
Mais laisse-moi te dire une chose, et je veux que tu l’intègres profondément :
Tu n’as pas moins de valeur parce que tu souffres de vaginisme.
Tu n’es pas “cassée”, tu n’es pas “défaillante”.
Ta féminité ne se limite pas à une seule fonction de ton corps.
Et si aujourd’hui, cette épreuve est sur ton chemin, ce n’est pas pour te détruire, mais pour te construire.
Le vaginisme, une épreuve… mais aussi une école de patience
Allah ne donne pas une épreuve au hasard.
Et même si aujourd’hui tu ressens de la frustration, de la douleur, de la solitude, sache que cette épreuve peut aussi être une source de force immense.
Parce que le vaginisme t’apprend quelque chose que peu de femmes apprennent dans leur mariage :
🔹 L’art de la patience. Non pas la patience passive, où on attend que le temps passe, mais la patience active, où on apprend à avancer malgré la difficulté.
🔹 L’importance de l’écoute de soi. Beaucoup de femmes passent leur vie à ignorer leur corps, à ne pas écouter ce qu’il leur dit. Le vaginisme te force à te reconnecter à toi-même, à comprendre ton corps et ton esprit d’une manière profonde.
🔹 Le courage de se choisir. Parce qu’en cherchant des solutions, en osant te faire accompagner, tu poses enfin un acte d’amour envers toi-même.
Et c’est peut-être ça, la plus belle leçon du vaginisme :
Le vaginisme en tant que femme te pousse à te prioriser.
Se prioriser, c’est se donner de la valeur
Beaucoup de femmes qui souffrent de vaginisme se sentent “indignes” du bonheur.
Elles mettent leur couple avant tout, elles s’effacent, elles culpabilisent de ne pas être “comme les autres”.
Mais la vérité, c’est que tant que tu ne fais pas de toi-même une priorité, personne ne pourra le faire à ta place.
Prendre soin de toi, chercher une solution, te faire accompagner, ce n’est pas de l’égoïsme.
C’est un acte d’amour envers toi-même.
Et c’est aussi un acte d’amour envers ton couple. Parce que plus tu seras alignée, plus tu seras en paix avec toi-même, plus ton couple pourra s’épanouir.
Choisir l’accompagnement qui te convient : un pas vers la délivrance Bi idni Llah.
Chaque femme est unique.
Chaque histoire est différente.
C’est pour ça que l’accompagnement qui t’aidera doit être adapté à toi, à ton rythme, à ta personnalité.
Peut-être que tu as déjà essayé de t’en sortir seule, avec des exercices trouvés sur internet, mais que tu t’es sentie perdue, dépassée, découragée.
Peut-être que tu as tenté d’en parler, mais qu’on t’a donné des solutions qui ne te correspondent pas.
Et c’est normal. Parce que le vaginisme ne se soigne pas avec une approche universelle.
Tu as besoin d’un accompagnement qui respecte ton rythme, qui te guide sans te brusquer, qui te permette de comprendre ton corps et ton cerveau en profondeur.
Un espace où tu peux avancer sans honte, sans peur, sans pression, tout en plaçant Allah au centre de ta délivrance, car oui, rien est possible sans Son décret.
Tu es en train de te reconstruire, et c’est magnifique
Si aujourd’hui tu lis ces lignes, c’est que tu es déjà sur le chemin de la délivrance Bi idni Llah.
Parce que la première étape, c’est d’en prendre conscience.
Et la deuxième étape, c’est d’agir pour toi.
Tu mérites de vivre une vie épanouie, sans peur, sans douleur.
Tu mérites un accompagnement qui te respecte et qui t’aide à avancer à ton rythme.
Si tu veux enfin sortir de cette boucle de frustration et retrouver une intimité sereine, je t’invite à découvrir ma formation offerte Vagidouceur.
Un espace où tu apprendras à :
✔️ Comprendre ton vaginisme au-delà du simple blocage physique.
✔️ Te reconnecter à ta féminité en douceur.
✔️ Te libérer des croyances qui t’empêchent d’avancer.
Tu n’es pas seule.
Et surtout, tu as toute la valeur d’une femme, avec ou sans vaginisme.
