Tu aimerais avancer. Tu aimerais être cette femme épanouie, confiante, à l’aise avec son corps et son intimité. Mais quelque chose en toi bloque, et tu te demandes comment sortir du vaginisme pour enfin retrouver cette liberté.
Peut-être que, sans même t’en rendre compte, l’idée de “devenir une femme” t’effraie.Tu aimerais avancer. Tu aimerais être cette femme épanouie, confiante, à l’aise avec son corps et son intimité.
Peut-être que, sans même t’en rendre compte, l’idée de “devenir une femme” t’effraie.
- Quand il faut lâcher prise, tu te sens figée.
- Ton corps refuse parfois ce que ton esprit souhaiterait accepter.
- Tu as l’impression d’être en “décalage” par rapport aux autres femmes, celles qui semblent naturelles et à l’aise.
- Et parfois, tu te demandes : “Pourquoi moi ? Pourquoi c’est si compliqué ?”
Et c’est là qu’on te dit :
- “C’est juste dans ta tête.”
- “Arrête de trop réfléchir.”
- “Lâche prise, ça va venir tout seul.”
Sauf que non car si c’était si simple, tu ne serais pas en train de lire cet article et si c’était juste une question de volonté, tu aurais déjà dépassé ces blocages.
Et surtout, si tu souffres de vaginisme, sache que ce n’est ni un caprice, ni une question de “manque de confiance”, ni une peur exagérée, c’est une réponse profonde de ton corps, et ce que tu ressens est légitime.
Avant tout, laisse-moi te dire une chose essentielle :
- Tu ne fais pas de chichis.
- Tu n’es pas “compliquée”.
- Le vaginisme n’est pas une fatalité.
Et surtout, tu peux t’en sortir.
Le vaginisme, ce n’est pas “juste dans ta tête”, c’est aussi dans ton corps
On vit dans une société où on te fait croire que “vouloir, c’est pouvoir et que si tu n’y arrives pas, c’est que tu “te prends trop la tête”.
Mais ce qu’on ne te dit pas, c’est que ton corps enregistre des choses que ton esprit ne contrôle pas toujours alors que vaginisme n’est pas qu’un problème psychologique. Il est aussi neuromusculaire.
Ton corps a appris à se protéger, souvent à ton insu et il a retenu des croyances, des peurs, des réflexes de défense qui se sont installés avec le temps.
- Peut-être que tu as grandi avec des messages qui t’ont inconsciemment fait associer l’intimité à quelque chose de dangereux, de honteux, de contraignant.
- Peut-être que ton éducation t’a transmis l’idée que “devenir une femme”, c’était devenir vulnérable.
- Peut-être que tu n’as jamais eu d’espace sécurisé pour explorer ta féminité sans peur.
Et aujourd’hui, ton corps réagit à ces croyances profondément ancrées alors c’est pour ça que le lâcher-prise ne se commande pas.
On ne “décide” pas de lâcher prise.
On apprend à créer un environnement intérieur qui permet au lâcher-prise de se produire naturellement.
Pour sortir du vaginisme, tu dois connaître les croyances à déconstruire
Si tu ressens cette peur, cette résistance, ce n’est pas un hasard, c’est qu’il y a quelque chose à comprendre, à déconstruire, à retravailler en douceur.
Et non, ce n’est pas juste une question de “forcer” ou de “se dire que ça va aller » au contraire c’est un vrai processus thérapeutique, un travail en profondeur pour :
✔️ Comprendre pourquoi ton corps bloque. Parce que derrière chaque réaction, il y a un message.
✔️ Reprogrammer tes croyances. Si ton inconscient te dit que c’est “dangereux” ou “mal”, il va falloir lui apprendre le contraire.
✔️ Te réconcilier avec ton corps. Parce qu’il a enregistré des choses qu’il est possible de dénouer.
Et tout ça, ça ne se fait pas en un jour car c’est un travail qui demande de la patience, de la douceur, et un accompagnement adapté.
Le vaginisme ne fait pas de toi une femme “incomplète”
Une des plus grandes souffrances des femmes qui vivent avec le vaginisme, c’est cette impression d’être en décalage avec les autres et de ne pas être “normale », d’avoir “un problème” ou encore de ne pas pouvoir offrir à leur mari ce qu’elles voudraient.
Et cette pensée fait tellement mal…
Mais écoute-moi bien :
- Tu es une femme à part entière, avec ou sans vaginisme et ce n’est pas ton corps qui définit ta valeur, mais ce que tu es.
- Tu as en toi une force immense, et cette épreuve peut t’apporter des qualités que peu de femmes développent car oui, le vaginisme peut aussi être une école de patience, de résilience, de connaissance de soi.
- Écouter ton corps plutôt que de le forcer devient une vraie leçon.
- Comprendre profondément qui tu es avant de t’ouvrir à l’autre est essentiel.
- Déconstruire tes croyances limitantes te permet de reconstruire une version de toi plus libre et sereine.
Tu n’es pas “bloquée pour toujours”.
Tu n’es pas “condamnée” à vivre avec ça toute ta vie.
Mais pour avancer, tu dois accepter de te choisir.
Se faire accompagner : le premier pas pour sortir du vaginisme
Si aujourd’hui, tu ressens cette peur d’entrer pleinement dans ta féminité, si ton corps résiste, ce n’est pas une fatalité.
Mais pour que ça change, il faut que tu décides que ton bien-être est une priorité et personne ne le fera à ta place.
💡 Personne ne viendra te libérer de ces blocages si toi-même, tu ne prends pas la décision de les affronter et ça commence par un premier pas alors si tu veux enfin comprendre ce qui bloque, si tu veux avancer avec les bonnes méthodes,je t’invite à découvrir ma formation offerte Vagidouceur.
Un espace où tu apprendras à :
✔️ Comprendre ton vaginisme au-delà du simple blocage physique.
✔️ Te reconnecter à ta féminité en douceur.
✔️ Te libérer des croyances qui t’empêchent d’avancer.
Tu n’es pas seule et surtout, tu as toute la valeur d’une femme, avec ou sans vaginisme.